• Du 2 au 6 aura lieu la Japan Expo aux parcs des expositions . C'est un événement à ne pas manquer ! Je vais essayer , je dis bien essayer , de postés quelques photos de la Japan pour ceux surtout qui n'ont pas pus y aller :) Bon , c'était juste pour dire ça , a plus ^-^


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  •  [Concours de Queen Paramount . Résultat : 4ème ]

    Retour aux racines

     

    Année 20XX : La guerre a éclaté . Semblable à une apocalypse. Jamais le monde n'a connu plus grand malheur. Tout les pays du globe se battent becs et ongles pour l'obtention d'une chose inconnue de la population du monde. Surement poussés par la soif de pouvoir qui réduit l'être humain à l'état d'animal. Jamais ne l'a connu, et jamais n'y survivra d'après certains philosophes .

    Après une guerre qui dura cinq longues années, la Terre n'est plus apte a accueillir les humains et les animaux se comptent sur les doigts d'une main. Souillée par le sang et les corps, minée par les obus, vibrée par le retentissement des coups de fusils que l'on entend encore dans l'écho du silence, démolie par les explosions nucléaire, provoquant des montagnes de toxines . Assaillis par la haine et la colère, tout les peuples du monde entier se sont rebellés, tuant par la même occasion leur dirigeants lamentables et excessifs qui ont mené leur monde à sa perte .

    D'un commun accord, les humains embarquèrent dans des vaisseaux cosmiques en emportant les animaux et autres espèces restant sur la Terre et partirent dans la découverte d'un autre monde, un autre chez eux. Le temps passait, et ils ne trouvaient rien. Se résignant alors à ne jamais remettre les pieds sur une planète logeable, ils construirent une ville planant dans cette grande étendue qu'est l'Univers. Une seule règle à suivre, l'interdiction de retourner sur Terre. Cette ville était parfaite, futuriste, accueillante. Il manquait pourtant une chose, essentielle et indispensable: des règles et des limites.

     

    Vingt ans étaient passées depuis cette tragédie, et la ville ressemblait exactement à la génération actuelle: sans limite, sans repère, sans avenir. Je marchais dans ces rues, aveuglé par les projections de lumière venant d'affiches publicitaires et d'enseignes beaucoup trop flashy. On ne pouvait même plus apercevoir les étoiles iriser le ciel nocturne.

    J'avançai, les mains bien emmitouflaient dans les poches de mon blouson de cuir. Le bruit de mes chaussures était absorbé dans l'agitation de la foule dense et abondante qui progressait lentement dans les rues.

    Je finis par m'arrêter devant un grand immeuble couleur bordeaux d'une dizaine d'étages, où toutes les lumières étaient éteintes. Toute, sauf une, qui était faiblement éclairée.

    Je commençais donc mon ascension jusqu'à atteindre le dernier étage de l'édifice et ouvrit une porte en chêne qui portait le numéro "36". Après m'être introduis dans la pièce, je vis la lueur de bougies. Je fis quelque pas et c'est là que je la vis. Une belle rousse allongée sur le lit, dans une nuisette bleue nuit. Elle me souria, elle m'attira sur le lit, faisant battre mon cœur, chaque seconde un peu plus .

    L'entremêlement de nos corps se mêlant à la chaleur des bougies, à la sueur de nos chairs. Nos corps s'imprégnant l'un l'autre, dans des gestes maladroits. Consumer par un désir sans nom qui nous brûle de l'intérieur .

    Après une nuit de torride, nous nous tenions serrés l'un contre l'autre, dans un état de plénitude complet. La jeune rousse ouvrit un tiroir de sa commode, et sortit une image où au centre se trouvait une forme sphérique, d'un bleu profond avec quelques nuances de vert. Je ne pouvais pas m'empêcher d'observer l'étincelle qui naissait dans ses yeux lorsqu'elle regardait cette petite image. Un mélange de tendresse et de fierté, comme un enfant qui attendait ses cadeaux au pied du sapin, le jour de Noël.

    -Un jour , je t'y emmènerais . Fis-je en allumant une cigarette, alors qu'elle me regardait d'un air étonné, non sans réprimer un sourire.

    -Tu ferais ça ? Pourquoi ?

    Pourquoi ? C'est une bonne question. Peut être parce qu'à cet instant précis, je n'avais qu'elle dans la tête. Son sourire. Ses larmes. Ses cheveux. Son visage. Son existence était pour moi si éphémère mais en même temps affreusement indispensable. Je la regardais, je la dévorais du regard, et croquais de mes yeux sa frêle beauté.

    -Qui sait, lui ais-je seulement répondu ce soir là.

     

    Dans les infos locales, une patrouille censée surveiller mensuellement la planète Terre affirme avoir retrouvé la trace GPS d'un vaisseau de secours posait sur le sol terrestre, vide. Personne ne peut encore affirmé qu'il y ait eu quelconque passagers. La patrouille a seulement retrouvé une photo de la Terre sur le sol du vaisseau.

     


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  • Dernière de couverture :

    JE SUIS MAUDITE
    J'AI UN DON

    JE SUIS UN MONSTRE
    JE SUIS PLUS FORTE QU'UN HOMME

    MON TOUCHER EST MORTEL
    MON TOUCHER EST POUVOIR

    JE VEUX QU'IL ME TOUCHE
    IL NE DOIT PAS M'APPROCHER

    JE SUIS LEUR ARME
    JE ME VENGERAI  

    Titre : "Ne me touche pas "

    Auteur : Tahereh Mafi

    Page :  392 pages

    Thème : Amour , Pouvoir , Dystopie .

    Résumé :

     Juliette est enfermée depuis 264 jours dans une forteresse pour un crime. Un accident. 264 jours sans parler. Ni toucher personne. Alors pourquoi Adam, celui qu'elle aime en secret depuis l'enfance vient-il partager se cellule ? Et pourquoi semble-t-il ignorer qui elle est ?
     
    L'organisme tout-puissant qui régit le monde de Juliette n'hésite pas à tuer pour asservir le peuple. Mais ce que désire par-dessus tout Warner, le fils de son leader, c'est Juliette. La malédiction qui pèse sur la jeune fille est pour lui une arme inestimable.
     
    Seulement Juliette n'a pas l'intention de se laisser faire. Après une vie de paria, elle trouve pour la première fois le courage de se battre et de rêver à un avenir avec celui qu'elle croyait avoir perdu pour toujours...

    Autres Tomes : Tome 2 : " Ne m'échappe pas " ///  Tome 3 : "Ne m'abandonne pas "     ///Hors-Série : " Ne me résiste pas "


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  • C'est chou , hein ?

    J'aime bien cette petite BD , elle est trop mimi ~


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  • [ Concours de Natsumi ]

    Tout se passe dans le Mid-ouest des Etats-Unis, dans un village du Winsconsin. Il comporte peu d'habitant, mais attire un bon nombre de visiteurs pour ces paysages calmes et idylliques. On y vivait paisiblement et personne ne pouvait contester ce fait, à part peut être quelques personnes récalcitrantes à toutes choses.

    Carter est né dans ce petit village tranquille, loin du stress de la ville. Il était en terminale et cherchait encore une université à la fin de ses études pour y étudier. Il voulait devenir écrivain, et était mordu de littérature. Mais en ce moment, quelque chose le gênait. En ce moment, il était …...en manque de quelque chose.

    Vendredi 4 Juillet , 17h45

    Aujourd'hui, les vacances d'été commençaient. Le village et ses alentours seraient sans doute remplis d'adolescents, participants à des camps de vacances et de touristes.

    Carter sortit rapidement de l'établissement, et marchait en compagnie de son ami d'enfance et confident de toujours, Jason, un grand blond, musclé et ''futur acteur à succès '' d'après Carter.

    Il lui avait confié tout ces coups de blues, ainsi que le fait qu'il soit gay – ce qui ne l'a pas choqué, il le savait au fond de lui.

    Les deux garçons marchèrent un long moment sur le chemin de terre avant de se séparer devant la maison du blond. Carter lui fît un sourire et lui dit au revoir de la main, tandis que Jason l'embrassa sur le front avant de disparaître derrière la porte, ce qui eu le don de faire rougir le jeune homme au cheveux noir bouclés cachés sous son bonnet beige.

    Il marcha un long moment sur le sentier avant d'atteindre sa maison. Le soleil brillait fortement dans le ciel, et son bonnet le protégé en partie de cet astre bouillonnant. Il y entra, lança son sac dans un coin et s'étala de tout son long sur le canapé du salon. C'étaient les dernières vacances qu'il passerait ici, avant de partir s'installer à Londres chez son père. Cela faisait déjà sept ans que ses parents été divorcés, et ils s'en sentaient que mieux ainsi.

    Il reçut un message de Jason lui donnant rendez-vous à l'Orchidy'z, un café – du moins le seul – se trouvant dans le village, lundi à 15h30. Carter sourit face à cette demande qui ressemblait plus à un ordre qu'autre chose et finit par accepter, avant de plonger sa tête dans un coussin et se s'endormir.

    Lundi 7 Juillet , 15h35

    Cela fait cinq minutes que Carter poirotait devant le café à attendre l'andouille qui lui servait d'ami. Si dans cinq minutes il n'était pas là, il entrerait dans le café et prendrait une table. Il aura moins l'air d'un idiot comme ça.

    Il soupira quand, cinq minutes après, Jason n'avait toujours pas montré le bon de son nez. Carter entra donc dans le café et s'assit à une table au fond près d'une fenêtre. Il réfléchit à la manière dont il lui ferait payer son manque de ponctualité, tout en regardant les gens marchaient dans les rues. Il haïssait les vacances, et tout ces vacanciers qui proliféraient dans les rues, s'attardant sur certaines boutiques ou envahissaient carrément les parcs.

    Toujours dans ses pensées, il ne vit pas la personne aux cheveux bruns et aux yeux bleus qui s'asseyait en face de lui et le regardait avec insistance. Après un petit moment d'observation, il décida d'entamé la conversation:

    -Quelle belle journée, vous ne trouvez pas ? demanda l'inconnu, avant que Carter se tourne vers lui avec une expression de surprise et d'imcompréhension.

    -Euh.....ouais......, bafouilla Carter, se demandant ce que faisait ce garçon assis en face de lui. Il n'était pas moche à regarder toutefois…

    -Avez-vous déjà commandez? , fit-il en souriant. Ses yeux avaient l'air de briller comme des saphirs, et sa beau légèrement doré rappelait le sable et la mer.

    -J'attends quelqu'un en fait, répondit Carter avec un air un peu maussade. Ce n'est pas la première fois que Jason était en retard, il avait l'habitude depuis le temps qu'ils se connaissaient.

    -Et bien le temps que cette personne arrive, pourquoi ne pas faire connaissance ?. Son sourire arrivait à faire fondre son cœur comme la bombe de chaleur perchait dans le bleu du ciel.

    Carte accepta, non sans cacher son enthousiasme de cette rencontre inattendue. Ils passèrent une bonne demie-heure à discuter de tout et de rien. Carter apprit qu'il s'appellait Kaleb, et qu'il avait obtenu un bac littéraire et qu'il étudiait dans une Université de New-York depuis 2 ans dans le but de devenir éditeur. Ils se trouvèrent de nombreux point commun tel que la lecture, ou la musique bien que rarement présente dans la vie de Carter. Avec lui, il ne voyait pas le temps passé et n'avait jamais autant rit de tout sa vie, plus qu'avec Jason ce qui l'étonna  Son cœur palpitait comme jamais il ne l'avait fait, c'était.....étrange.

    Une demie-heure après, Jason arriva enfin et alla voir Carter quand il remarqua également la présence de Kale , ce qui pour une raison inconnue, le mettait hors de lui. Il s'arrêta devant la table, salua Carter - qui lui fît une moue contrariée - et se mit a dévisagé le bel inconnu. Comprenant tout à fait ce que voulait dire ce regard, il se leva en donnant un bout de papier contenant son numéro de téléphone à Carter qui rougit, puis il partit .

    -C'était qui ? interrogea Jason à son ami, encore plus offusqué en le voyant rougir. Carter leva les yeux vers lui en insérant le bout de papier dans sa poche.

    -Tu es en retard, répondit-il tout en contournant la question du retardataire en lui faisant signe de s'assoir. New-York , ça à l'air sympa, finit-il par dire en regardeant par la fenêtre.

    Jason s'assit sans rien ajouté d'autre, ne comprenant pas pourquoi il lui parlait de ça. Ils passèrent alors plusieurs heures à discuter, mais les pensées de Carter restèrent accrochés à sa rencontre avec Kaleb. Il voulait le revoir, il en avait besoin. Il l'avait ressentit, pour une raison qu'il ignore, cette bouffée d'air frais qu'il cherchait: une bouffée d'adrénaline .

     


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